Douceur violente, violence douce
Il a vécu 28 ans. On a voulu faire de lui un cheminot, il s'est fait peintre. Son oeuvre, c'est presqu'uniquement des auto-portraits, comme s'il se fouillait lui meme, au plus profond, et même au plus désagréable, antipathique et violemment laid de lui-même.
Meme jeune, on sent cette violence.
Et pour moi, ça donne quelque chose de violemment beau.
Comme une envie de crier qui reste dans la bouche et qui remplit tout le corps.
Et puis un soupir intérieur.
Ces peintures, j'avais envie de les avoir ici.
Libellés : art, autriche, egon schiele, expressionnisme, peintre, peinture
Enfin un nouveau post, tu sais te faire désirer dis-moi ! Avec ton aide, je finirai peut-être par me réconcilier avec l'expressionnisme allemand après avoir été traumatisé par Berlin Alexanderplatz en prépa ;)
Ahah Bernard, moi j'adore l'expressionnisme allemand ! Bien sur que je vais essayer de te reconcilier avec eux^^